Archives pour la catégorie Non classé

ART GALLERY

MW ART GALLERY

Une galerie d'art à Louisville

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

Une galerie d'art contemporain
Evansville, Indiana, USA
Novembre 2013
Infinite Competition Haynie's Corner
Appel à idée
nc
850 m2

LE LIEU DU RUISSEAU

NAOS_C

LE LIEU DU RUISSEAU MURMURANT

Une installation éphémère hommage à la culture du jardin zen japonais

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

Jardin éphémère
Québec, Canada
juin 2015
Festival des jardins de Grand-Métis
Appel à projet
10 000 CAD
300 m2

Jardin zen

AXO-BOIS

Un jardin zen comme espace de méditation et d’interaction collective.

L’eau constitue l’une des plus puissantes énergies de la biosphère. Le lieu du ruisseau murmurant lui rend hommage. L’ expérience qu’il propose activera les 5 sens. L’installation s’organise à l’intérieur d’une colonnade de barils de récupération marquant le premier plan. Ces cercles d’eau suggèrent un temple en ruine où une nature aux couleurs vives à repris ses droits.

Une enveloppe composée de rigoles en bois irrigue des plantes aquatiques québécoises. Réalisées avec des planches de longueurs standards, ces canalisations inclinées se superposent en quinconces. Aux interstices, l’eau s’écoule en cascade vers le niveau inférieur. Plusieurs clapets, installés dans les rigoles, permettent la déviation du circuit d’eau vers les barils de fleurs. L’animation de la façade varie ainsi au gré du nombre de visiteurs les manipulant. Au cœur du temple ainsi formé, repose un naos de mousse. Le visiteur s’y laissera bercer par le bruit du ruisseau.

AXO-GENERALE_color

BOULON-roses

IMG_3051

VUE-BIDON

VUE-DETAILLe-lieu-du-ruisseau-murmurant_Page_3

DON’T TELL MY HORSE !

FAV_cover

DON'T TELL MY HORSE !

Festival des Architectures Vives de Montpellier

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

Installation éphémère
Musée Fabre, Montpellier (34)
Du 12 au 16 juin 2013
Festival des Architectures Vives FAV
Mission complète
2000 euros
35 m2

Pour la première fois, une architecture vive investit l’atmosphère feutrée de la cour de l’hôtel Sabatier d’Espeyran. C’est une construction de bottes de paille telle qu’on en croise remorquée par les tracteurs sur les départementales. Un mur en dégradé de paille  alterne pleins et vides, pesanteur et légèreté grâce à des pièces de bois intercalaires qui sanglent les ballots.

Témoin de l’image du Montpellier d’autrefois, des cartes postales sont rééditées et offertes comme médium de transmission. Objets à voyager, elles nous évoquent le temps des voitures à chevaux et invitent les visiteurs à la nostalgie. Au fond de la cour, le mur se transforme en cabinet d’écriture où l’on peut s’asseoir ou s’allonger le temps d’inscrire un message destiné au promeneur suivant. Un moment de pause propice au souvenir et à la contemplation de la superbe façade du musée Fabre.

Le projet a reçu le Prix spécial du jury.

Logo festivallogo-LM-150dpi     logo-PURE-IMPRESSION-Q

 

For the first time, the FAV offers the opportunity to invest the hushed atmosphere of the Hôtel Sabatier d’Espeyran. The Montpellier Museum of Decorative Arts, part of the famous Museum Fabre, guests our architecture installation in its small 10 per 3.5 meters courtyard. Based on the festival’s topic “Reminiscence”, the work invites visitors to remember with nostalgia the horse carriages time and to consider the evolution of cities’ landscape since.
“Don’t tell my horse” is a scenography made out of straw bales similar to those one can find towed by tractors in the countryside.  The wall construction, made up with 50 straw bales tied together by natural jute webbings and wood spacers, alternates full and empty, lightness and weight. People are welcome to write a memory on postcards picturing old Montpellier, comfortably seated on a straw couch, inspired by its odor and a sound record of horses. Once pins on the wall, postcards are left to be read by next visitors. 3,500 people have discovered this construction during the festival and have written more than 850 messages.
The installation creates a surprise by the use of this rustic material in such a delicate setting and offers a rest in the exhausting city.

_23B7868Copyright-Lucien-Puech-fav-2013-Axo

_23B8629

_23B8644

_23B7858

_23B8547

Cartes-postales-anciennes-montpellier

LES FLEURS MAUDITES

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_800px

LES FLEURS MAUDITES

Jardin éphémère suivant la thématique "Les sept péchés capitaux"

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

Installation temporaire
Chaumont-sur-Loire (41)
25 avril au 15 novembre 2014
Domaine régional de Chaumont-sur-Loire
Festival International des Jardins
29 000 €
250 m2

L'usage de plantes, psychotropes, narcotiques, enthéogènes, servent depuis la nuit des temps à apaiser la colère des hommes : face à l'injustice, l'impuissance, elles invitent à dépasser l'immanence, elles ouvrent sur un ailleurs porteur de réconfort, d'oubli ou de rédemption. Pourtant, leur sort n'est pas enviable : réprimées, interdites, réglementées, détruites, elles sont elles-mêmes victimes de l'injustice des hommes, et nourrissent une légitime colère.

La colère des plantes maudites, utilisées par les sorcières, les marginaux, les animistes, nous rappelle ainsi que les plantes aussi peuvent être frappées de prohibition, comme le houblon pour des raisons morales, le chanvre pour des raisons commerciales, la jusquiame ou l'absinthe pour leurs propriétés délétères, la datura pour son pouvoir hallucinogène, ou encore la moutarde pour ses propriétés aphrodisiaques, qui invitent à la luxure et au péché. L'histoire de ces plantes et des anecdotes à leur sujet sont présentées sur des panneaux installés le long du parcours.

La composition de ce jardin met en lumière l'enfermement qui frappe ces plantes, et met en scène un chemin sinueux et labyrinthique dans lequel le visiteur s'engouffre jusqu'à se retrouver lui-même enfermé dans une impasse où s'élève un arbre épineux. C'est une invitation à réfléchir sur l'injustice de la séparation arbitraire imposée par les barrières, barbelés, frontières. Un grillage sépare le visiteur des plantes présentées et l'empêche de les approcher.

Le chemin est composé d'éléments classiques revisités et comme déformés par un accès de colère. Le plancher est en chêne de pays déclassé. Évoquant des terrains délaissés urbains, le grillage qui s'oxyde, se déchire par endroit et dessine des vagues. La géométrie organique des limites, d'abord ouverte vers le ciel, puis de plus en plus englobante, perturbe la perception spatiale du visiteur.

Avec Charlotte Trillaud, texte et botanique et Jean-François Jousse, ferronnerie; Christophe Gaussens, Eric Branthomme et Nicolas Gommet, platelage bois;  Mickaël Auzereau, Jérôme Vincent; serrurerie, Christophe Marchadier, paysagiste.

©LucienPuechArchitecture_Master-Plan ©LucienPuechArchitecture_Section

A little further comes Charlotte Trillaud and Lucien Puech who remind us that the plants of our addictions--and our addictive obsessions--are ever ready to imprison us in a winding labyrinth of frustration. But just as we are imprisoned within a chain-link fence, so two are the psychotropic plants (smoked, masticated or applied to the flesh) that with modest usage might help us to break through the barriers of our suffering.

The Huffington Post, 6 juillet 2014

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_004

 

©LucienPuechArchitecture_Axonometric-View-C

 

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_013

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_029

C'est pourquoi je déchire votre toile pour que votre colère vous fasse sortir de votre caverne de mensonge, et que votre vengeance jaillisse derrière vos paroles de "justice".

Ainsi parlait Zarathoustra, Nietzsche

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_035

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_003

 

Les Fleurs maudites:

Artemisia absinthium

Agave tequilana

Amaranthus caudatus

Angelica archangelica

Atropa belladonna

Cannabis sativa 'Santhica 27'

Silybum marianum

Datura stramonium

Datura metel 'Purple'

Datura inoxia ' Trompette du Diable'

Digitalis purpurea 'Camelot'

Galeopsis tetrahit

Hierochloe odorata

Humulus lupulus 'Aureus'

Ilex meservae 'Blue Angel'

Ipomoea purpurea 'Morning Glory'

Hyoscyamus niger

Solanum nigrum

Sinapis alba

Ophiopogon japonicus

Papaver somniferum album

Vitis riparia x labrusca 'Noah'

Conium maculatum

Verbena officinalis

Ricinus comunis 'Carmencita'

Rubus fruticosus

Rosa X 'Black Baccara'

Lonicera japonica

Nicotiana glauca

Valeriana officinalis

 

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_037

©LucienPuechArchitecture_Axonometric-View-A

Les Fleurs Maudites, a metaphor for wrath, where narcotic and hallucinogenic species grow behind prison-like wire fences

The Telegraph, 21 mai 2014

Les-Fleurs-maudites_Chaumont_©francois_Flohic_059

Le chantier

HAKODATE

HAKODATE'S OLD RUSSIAN CONSULATE

INTERNATIONAL ARTISTS RESIDENCY AS A PUBLIC CULTURAL FOUNDATION FOR HAKODATE

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

Reconversion d'un patrimoine historique
Hakodate, Hokkaido, Japon
Aout 2014
MONUZUKURI HAKODATE FORUM
Appel à idée - Lauréat 1er prix
nc
1380 m2

L’ancien bâtiment du consulat de Russie bénéficie d’une situation en belvédère sur la baie d’ Hakodate.

Le projet propose sa transformation en résidence internationale pour artistes associé à des espaces d’exposition et de production. Une petite boutique signale sur la rue le caractère public du lieu. Dans l’ancien bâtiment, un workshop est aménagé dans le sous-sol, une galerie au rez-de-chaussée et les salles de pratique à l’étage. Une aile de studios pour résidents temporaire s’adosse au mur de soutènement en limite parcellaire, le paysage et le jardin se reflètent dans sa façade en créant un espace d’une grande clarté favorable à la concentration. Deux bains «ofuro» se nichent dans les arbres. Un cheminement mène les visiteurs à la terrasse d’une cafétéria dominant la baie.
Cette proposition a reçue le 1er prix de l'appel à idées. Elle a été exposé à la bibliothèque de Hakodate au Japon en aout 2014.

Vue de la séquence d'entrée
Vue de la séquence d'entrée
Vue du jardin
Vue du jardin

The old Russian consulate is a charming historical building located on the Mont Hakodate slopes. The project aims to enhance its potentials as a first class destination in the city. Surrounded by temples and at the hedge of the Mont's forest, its garden would be a generous retreat and meeting place for artists, inspired by the stupendous view toward the city bay. On the model of the Villa Medicis in Rome, the Consulate will host an International Artist Residency in Hakodate. Artists will be hosted for short to midterm stay, create and expose their work into the new exhibitions rooms. Exchange between international and local designers will be organized into workshops with top end equipments.

This new Public Cultural Foundation will also be a place for live performances, receptions and seminaries on art. Invited artists will hold master classes open to Hakodate's citizens and students. The garden will be a main touristic venue with its panoramic café. A small shop at the Foundation entrance will be a signal in the street and a place to buy some drawings and souvenirs.

The intervention on the site, with the destruction of the old extension, permits to give back to the consulate building its four facades and its volumetric independency.

The interior renovation dismantles few partition walls in order to create larger rooms for the exhibition. At the first floor, the performance room oriented toward the garden benefits of a higher ceiling following the roof shaping. Architectural moldings are preserved but hidden behind wood-framed paper partitions with pictures rails. One stair is created in the lobby leading to workshops in the basement which benefit of new skylights.

A sharp glass facade, reflecting the bay landscape and the Consulate's garden, creates a strong architectural gesture. The private artist residency program is dispatched on a strip along the south retaining wall. The five artists' studios, made of solid wood panels, are composed of a working room with a terrace opening through the garden and a living room on tatami at mezzanine oriented toward the south. Two small baths for artist concentration and well-being are embedded into the garden's topography. Workshops' skylights and the street shop complete the plan. A café conceived as a translucent winter garden offers a generous deck for events above the Hakodate famous scenery.

MONOZUKURI HAKODATE FORUM web site

This proposal received the first prize and had been exposed at the Hakodate Central Library in august 2014.

coupe-trans-jardin_775px
Coupe transversale avec l'ancien consulat au fond
Vue-Bout_775px
Vue vers les studios de résidences pour artistes
Axo_775px
Vue axonométrique générale

Vue-Coté_775px

Vue-cote-extenssion_775px

Vue du belvédaire
Vue du belvédère
Vue intérieure du plateau polyvalent
Vue intérieure du plateau polyvalent
Intérieur d'un des studios
Intérieur d'un des studios

LE BOIS COQUET

C:UsersluluDocumentsVAUX_CENTRAL_lulu.pdf

LE BOIS COQUET

5 logements passifs et contemporains dans le Vexins Français

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

Logements passifs et activité
Vaux-sur-Seine (78)
Juin 2015
CAUE 78 - Parc naturel régional du Vexins Français
Appel à idée «Architecture contemporaine vexinoise»
1,05 M
565 m2 SDP

VAUX_PLAN-SCHEMATIQUE_775px

Pour ce concours lancé par le parc régional du Vexin, nous avons proposé une opération de 5 logements passifs, entièrement conçus en structure bois.

Le terrain joue un rôle de connexion entre les activités urbaines de la rue et l’invitation aux loisirs et à la promenade le long du fleuve. Le projet tire parti de ces contrastes d’ambiances, d’échelles et de fonctions. Le bâtiment s’implante dans la continuité des maisons de l’avenue qu’il borde et s’adapte à l’échelle du bâti avoisinant. Il se compose de trois volumes que l’on distingue entre autre par leurs toitures respectives. Ce découpage en bandes permet tout en construisant 5  logements collectifs, de rythmer la façade sur rue, de rendre lisible le principe de murs de refends structuraux et de rester dans les échelles de proportions du contexte.

Afin de proposer une amorce de promenade vers les bords de Seine, la zone de parking bénéficie d’un aménagement paysager. Une signalétique dédiée à l’histoire de la commune et de l’Ile de Vaux l’agrémente en le rendant plus attractif et invite à ce qu’il devienne le point de départ de la découverte des bords de Seine. L’immeuble de logements comporte ainsi en rez-de-chaussée une surface de 55m² ayant pour vocation d’être partagée. Les habitants pourront l’occuper dans des fonctions aussi diverses que celle d’une crèche parentale ou d’un espace de co-working.

Avec G. Morice, architectes dplg

Vue perspective arrière sur le jardin
Vue perspective arrière sur le jardin
PLANS-100e_775px
Plans des niveaux
Coupe sur le dispositif de renouvellement de l'air et éclairage indirect
Coupe sur le dispositif de renouvellement de l'air et éclairage indirect
PERS_Lointaine_775px
Vue lointaine depuis la Seine

 

REINVENTER PARIS

Vue-Entrée-cons_new-hdr_775px

REINVENTER PARIS

21 logements + activités en construction bois

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

21 logements + activités
Paris XIIIe
Juin 2015
Mairie de Paris
Consultation "Réinventer Paris"
4,25 M
Parcelle: 367 m2 -  SDP: 1598 m2

Notre réponse à l’appel à projet « Réinventer Paris » pour le site Edison dans le 13ème arrondissement près de la place d’Italie s’est structurée autour de trois axes d’innovations:

ORGANISATION:
Pour concevoir cet immeuble de 18 logements en accession, 3 studios duplex d’artistes et 2 locaux d’activités, une équipe multidisciplinaire s’est constituée en regroupant promoteurs, futurs usagers, sociologue, industriels et bureaux d’études. L’objectif original de l’appel d’offre organisé par la Mairie de Paris est de favoriser ce type d’opération rapide et enthousiasmante.

USAGES:
Le montage financier novateur a pour but de pérenniser l’activité artis­tique de la coopérative culturelle CLARA, d’installer le FONDS DE DOTATION GILLES CARON à Paris et de créer des studios d’artistes (en bail social). Le projet propose la mise en place d’espaces spécifiques de conception (type FabLab) ainsi que des espaces mutualisés en terrasse pouvant accueillir des évènements. Le local de la coopérative CLARA est polyvalent avec des surfaces d’ateliers modulables et un linéaire de vitrine divisible en « PopUp stores ».

TECHNIQUE:
Le bâtiment à basse consommation énergétique est conçu en utilisant le système LINEAZEN de caissons structuraux en bois lamellé croisé de hêtre (CLT). Ce procédé de construction induit un chantier sec, silencieux et rapide du fait du montage d’éléments préfabriqués permettant de minimiser les nuisances pour le consevatoire de musique municipal voisin. Une ventilation double flux naturelle permet, grâce à des cheminées de ventilation à récupération de chaleur passive disposées en toiture, une économie d’énergie et un confort intérieur important.

D’autre part, le radiateur électrique connecté innovant « Q.rad » produit par QARNOT COMPUTING, dont la source chaude est constituée de micro­processeurs informatiques est proposé aux acqué­reurs.

En termes de gestion de projet et d’échanges entre les différents intervenants, la maquette numérique (BIM) est l’outil qui permet un gain de précision et de temps conséquent pour la conception du projet.

En densifiant la parcelle au maximum de sa capacité autorisée, le bâtiment s’insère dans le tissu hétéroclite du quartier avec une écriture de façade sobre, un revêtement métallique lumineux et sérigraphié d’une reproduction d’un cliché célèbre du photographe Gilles Caron.

EQUIPE:

Gaspard Saint-Macary, GSMA, architecte mandataire; G. Morice, architecte

DS IMMO et SULLY PROMOTION, promotion immobilière

SENS PRATIQUE, urbanistes et sociologues

CLARA, coopérative Culturelle

FONDS DOTATION GILLES CARON, fondation artistique

LINEAZEN, industriel

MAYA, bureau d’étude thermique et fluide

GINKO INGENIERIE, bureau d’étude environnemental

Vue du chantier en phase de montage des panneaux CLT
Vue du chantier en phase de montage des panneaux CLT
Vue du pignon sérigraphié
Vue du pignon sérigraphié
Élévation côté conservatoire et coupe transversale
Élévation côté conservatoire
Vue de l'entrée de l'immeuble
Vue de l'entrée de l'immeuble
Élévation sur le rue Edison et coupe longitudinale
Élévation sur le rue Edison et coupe longitudinale
Vue de la toiture partagée
Vue de la toiture partagée

BORDEAUX ALTANA

BORDEAUX ALTANA

Bordeaux entre en dialogue avec Venise

PROGRAMME:
LIEU:
DATE:
MOA:
PHASE:
BUDJET:
SURFACE:

Coupe perspective sur le comble réaménagé
Bordeaux (33)
Septembre 2014
AGORA Biennale d’architecture - Ville de Bordeaux
Appel à idée «Habiter les toits»
nc
variable / typologie adaptable

Vue-toit
Vue aérienne

L’altana est un élément caractéristique de l’architecture vernaculaire vénitienne, c’est une terrasse de toiture légère en bois supportée par des petites piles de briques à laquelle on accède par une volée de marches depuis les combles.

La proposition s’inspire de manière contemporaine de cette typologie qu’elle associe aux graciles verrières bordelaises. S’adaptant à tout type de charpente, ce dispositif architectural propose une nouvelle distribution verticale de l’appartement autour d’un puits de lumière. Une surélévation légère combine une double bibliothèque au rôle structurel avec un escalier permettant d’habiter le toit.

Permettant de prendre l’air les soirs d’été, de s’asseoir et de converser face à l’horizon, la surface de verre de cette plateforme en lévitation, l’altana bordelaise, se transforme en élégante lanterne la nuit.

Cette proposition a reçue le 5ème prix de l'appel à idées Agora Biennale de Bordeaux 2014.  SITE AGORA BORDEAUX

Croquis_800px

 

Vue-interieure_800px
Coupe perspective et vue intérieure du dispositif